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lou gazettou

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17 avril 2008

un couple s'unit cet été

marvejols_001

J'ai la grande joie de vous annoncer le mariage de Rémi , mon fils ainé, avec Claire dont vous avez pu faire la connaissance à la detrniére fete de famille.

Elisabeth (lilou ) et Jean-Claude

48220 LE PONT DE MONTVERTmarvejols

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29 janvier 2008

COUCOU

Je reviens auprés du blog LOU GAZETTOU¨, car vous avez reçu la photo de la fête de famille si vous l'aviez commandé et vous avez pu lire la feuille jointe du compte rendu , ainsi que les explications pour arriver sur lou gazettou.. vous ne devez avoir aucune difficulté : vous allez sur google et vous tapez lou gazettou , oui on est sur google.

Si, je veux savoir si vous allez voir ce petit journal familial n'hésitez pas à laisser des commentaires ou alors envoyez des mails sur la messagerie prévue à cet effet familleiche@yahoo.fr,

Bon , je n'ai plu qu'à attendre encore et encore mais si vous voulez que ce blog existe il faut l'alimenter sinon il disparaitra à jamais.

4 janvier 2008

BONNE ET HEUREUSE ANNEE

bonne_annee2

Bonne année à toutes et à tous, qu'elle vous apporte tout ce que vous désirez.

23 décembre 2007

JOYEUX NOEL à tous et à toutes

                                JOYEUX NOEL à tous et à toutes            

 

Jesus

21 décembre 2007

UN PEU DE NOSTALGIE

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Voici un chant qui me tient particulièrement à coeur car papa nous l'avait appris  quand nous étions petites.Nous le chantions à trois voix et c'est vrai c'était beau.C'est comme cela qu'il nous avait appris des chants anciens de noel que nous chantions avec lui tous les soirs devant notre crêche avant d'aller nous coucher.

Musique : traditionnel allemand XVIe siècle "Es ist ein Ros entsprungen". Arrangement de Praetorius (1571-1621) en 1609. Paroles françaises (pas une traduction) de A.Mahot en 1621.

Dans une étable obscure,
Sous le ciel étoilé
Et d'une Vierge pure,
Un doux Sauveur est né.
Le Seigneur Jésus-Christ
Est né dans une crèche,
Quand a sonné minuit.

Tandis que les Rois mages,
Tandis que les bergers
Lui portent leurs hommages,
Portons-Lui nos baisers.
Le Seigneur Jésus-Christ
Saura bien nous sourire,
En cette heureuse nuit.

Plein d'une foi profonde,
Le monde est à genoux !
Frêle Majesté blonde,
Etends les mains sur nous !
Ô Jésus tout petit,
Le monde entier t'acclame,
Dans l'adorable nuit.

Et en voici un autre:

Paroles et Musique: Augusta Holmès

Trois anges sont venus ce soir
M'apporter de bien belles choses.
L'un d'eux avait un
encensoir
L'autre avait un bouquet de roses.
Et le troisième avait en main
Une robe toute fleurie
De perles, d'or et de jasmin
Comme en a Madame Marie.
Noël, Noël, Nous venons du ciel
T'apporter ce que tu désires
Car le bon Dieu au fond du ciel bleu
Est chagrin lorsque tu soupires.

2. Veux-tu le bel encensoir d'or
Ou la rose éclose en couronne?
Veux-tu la robe ou bien encore
Un collier où l'argent fleuronne?
Veux-tu des fruits du paradis
Ou du blé des célestes granges?
Ou comme les bergers jadis
Veux-tu voir Jésus dans ses langes?
Noël, Noël, retournez au ciel
Mes beaux anges, à l'instant même
Dans le ciel bleu demandez à Dieu
Le bonheur pour celui que j'aime.

Vous pouvez les chanter...et les rechanter, c'est bientôt NOEL.

Entre le boeuf et l'âne gris

Entre le boeuf et l'âne gris,
Dort, dort, dort le petit fils
Mille anges divins, mille séraphins
Volent à l'entour
De ce Dieu d'amour.
- Entre les roses et les lis, dort, dort...
- Entre les pastoureaux jolis, dort, dort...
- Entre les deux bras de Marie, dort, dort...

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18 décembre 2007

UN AUTRE MAIL DE Marie-Hélène

f_cotillon05MERCI A GEORGES

pour mon pot de départ, nous avons dégustés .... un vin rouge.
  "les trois blasons" d'Azillanet : E X C E L L A N T.
    tu auras des nouveaux clientsboisson056

12 décembre 2007

jour J-12

collage2

11 décembre 2007

jour J-13

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En attendant NOEL......................quelques images de la crêche.

9 décembre 2007

LE MAIL DE Marie-Hélène


bonjour la famille.......
dans trois jours, quarante années d'activités se terminent.
sur les photos, je ne sais pas pourquoi! j ai toujours le bras en l'air.
bisous, bonnes fêtes de NOËL à toutes et tous

9 décembre 2007

UN PETIT CONTE DE NOEL

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La petite fille aux allumettes
Conte d'Andersen

Il faisait effroyablement froid; il neigeait depuis le matin; il faisait déjà sombre; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue: elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Lorsqu'elle était sortie de chez elle le matin, elle avait eu de vieilles pantoufles beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu'elle eut à se sauver devant une file de voitures; les voitures passées, elle chercha après ses chaussures; un méchant gamin s'enfuyait emportant en riant l'une des pantoufles; l'autre avait été entièrement écrasée.

Voilà la malheureuse enfant n'ayant plus rien pour abriter ses pauvres petits petons. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes: elle en tenait à la main un paquet. Mais, ce jour, la veille du nouvel an, tout le monde était affairé; par cet affreux temps, personne ne s'arrêtait pour considérer l'air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n'avait pas encore vendu un seul paquet d'allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.

Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières: de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur, celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir: c'était la Saint-Sylvestre. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.

Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d'allumettes, l'enfant aperçoit une encoignure entre deux maisons, dont l'une dépassait un peu l'autre. Harassée, elle s'y assied et s'y blottit, tirant à elle ses petits pieds: mais elle grelotte et frissonne encore plus qu'avant et cependant elle n'ose rentrer chez elle. Elle n'y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait.
L'enfant avait ses petites menottes toutes transies. «Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts? » C'est ce qu'elle fit. Quelle flamme merveilleuse c'était! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteignit brusquement: le poêle disparut, et l'enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié brûlé.

Elle frotta une seconde allumette: la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise: elle était couverte d'une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu, s'étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de pommes: et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une fourchette fixés dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien: la flamme s'éteint.

L'enfant prend une troisième allumette, et elle se voit transportée près d'un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches vertes, brillaient mille bougies de couleurs: de tous côtés, pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle: l'allumette s'éteint. L'arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles: il y en a une qui se détache et qui redescend vers la terre, laissant une trainée de feu.
«Voilà quelqu'un qui va mourir » se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l'avait aimée et chérie, et qui était morte il n'y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu'on voit une étoile qui file, d'un autre côté une âme monte vers le paradis. Elle frotta encore une allumette: une grande clarté se répandit et, devant l'enfant, se tenait la vieille grand-mère.

- Grand-mère, s'écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh! tu vas me quitter quand l'allumette sera éteinte: tu t'évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d'oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-moi.

Et l'enfant alluma une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus longtemps possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n'y avait plus ni de froid, ni de faim, ni de chagrin: c'était devant le trône de Dieu.
Le lendemain matin, cependant, les passants trouvèrent dans l'encoignure le corps de la petite ; ses joues étaient rouges, elle semblait sourire ; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d'autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d'un paquet d'allumettes.

- Quelle sottise ! dit un sans-coeur. Comment a-t-elle pu croire que cela la réchaufferait ? D'autres versèrent des larmes sur l'enfant; c'est qu'ils ne savaient pas toutes les belles choses qu'elle avait vues pendant la nuit du nouvel an, c'est qu'ils ignoraient que, si elle avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère la plus douce félicité.

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